J'aurais pu bifurquer vers l'ouest beaucoup plus au nord, mais je souhaitais visiter Phnom Penh, la capitale du Cambodge, pour en apprendre plus sur leur génocide. Et j'ai très bien fait.

Dans le nord du Cambodge, je progresse dans une thématique de liquide : des arbres à caoutchouc, du jus de canne à sucre... et encore des orages !

Je rencontre un Français qui l'a eu encore plus difficile que moi, et je pense que l'Apocalypse est arrivé au Cambodge !

Sur la route, je continue de rencontrer des gens, mais partout, je vois surtout de la fumée. Et comme on sait, il n'y a pas de fumée sans feu...

En roulant dans le sud du Laos, je croise des insectes, trop de déchets, et de gentils moines jardiniers !

À bout de la cacophonie vietnamienne, je reprends la route déjà parcourue vers le nord, pour bifurquer vers la frontière laotienne. Oh, que le silence fait du bien !

Mon long séjour au sein d'une famille vietnamienne m'a permis de découvrir tout un pan de la culture du pays, mais aussi de réaliser à quel point la vie y est difficile pour la plus belle moitié du genre humain.

Le titre ne pourrait être plus révélateur. C'est ce parc que mon nouveau meilleur ami Hynek et moi visitons un vendredi dans cette ville du Vietnam.

S'il y a un établissement que l'on remarque à tous les coins de rue au Vietnam, c'est l'omniprésent karaoké. À Rome, fais comme les Romains, dit-on. Je me devais donc d'aller pousser quelques notes en public.

Je reviens à Hué, au centre du Vietnam, pour prendre des vacances de mes vacances. « Combien de temps penses-tu rester ? », me demande-t-on à l'hôtel. Une semaine, que je réponds. C'en sera finalement quatre !

Pour la dernière ligne droite avec le paternel, nous nous accrochons les pieds dans un col surprise et avec la bureaucratie aéroportuaire vietnamienne.

Presque arrivés à la fin de ce mois avec mon père, nous entrons à Hué, au centre du Vietnam, et recevons quelques invitations.

Sur la frontière entre le nord et le sud du Vietnam, on découvre une vie difficile pour ses habitants. Et une résilience hors du commun.

Rouler en vélo au Vietnam, c'est essayer de trouver un équilibre entre les moments tranquilles et l'agressivité de la bruyante route. Mais en roulant en famille, cet équilibre se trouve plus facilement.

Sur l'île paradisiaque de Cat Ba, j'ai l'air d'un touriste. Mais pas vraiment pour les bonnes raisons !

Après un voyage de 35h, trois vols et de longues escales, mon père débarque à 1h du matin à l'hôtel d'Hanoï où je l'attendais patiemment. Père et fils passeront janvier à rouler au Vietnam.

La route du nord du Vietnam est plissée, remplie d'animaux et d'enfants curieux. Je m'y promène entre les vallées, cherchant les fameuses montagnes remodelées pour la culture du riz.

Comme vous le savez, j'écris ces chapitres avec quelques semaines de retard. Laissez-moi donc vous raconter où j'ai passé mon Noël !

Comment on prépare le rat pour le manger, comment on fabrique du tissu, et comment des Québécois me reconnaissent. Tout ça dans ce chapitre!

Après Vang Vieng, je traverse des villages extrêmement pauvres, jusqu'à atteindre le havre de Luang Prabang, d'où je tomberai sous le charme d'immenses boules d'amour.