Tobias Gessler ne faisait pas de vélo de montagne lorsqu’il est arrivé en Albanie il y a huit ans. Il guide aujourd’hui annuellement une centaine de vététistes à travers les hautes cimes du pays.

« On m’a dit que mon vélo était usagé et venait d’Allemagne, mais je n’ai pas trop posé de questions... »

À Tirana, la capitale de l’Albanie où les moteurs sont objets de désir, rouler à vélo est nouvellement devenu cool.

Entre le Canada, le Maroc et l’Albanie, quelques photos de drone me coûtent au-delà de 500$…!

Les quelque 40 kilomètres de sentiers qui séparent la capitale Tirana de la ville de Croïa au nord se font en une journée. Ils sont aussi assez épiques pour que je me les remémore pendant des années.